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Nettoyer ensemble les plages lors de l’Eneco Clean Beach Cup

Nos océans se transforment en grande soupe plastique à un train d’enfer. Même si toute la production de plastique s'arrêtait maintenant, le nombre de microplastiques dans les océans pourrait encore plus que doubler d'ici 2050. C'est la conclusion alarmante d'une étude de l'Institut allemand Alfred Wegener, à laquelle a également participé le Vlaams Instituut voor de Zee (VLIZ).

Les dommages causés par la pollution plastique des océans et des mers seront irréparables d'ici la fin du siècle, prévient le WWF, très inquiet pour la biodiversité. Le plancton, les poissons, les tortues et les oiseaux marins ont de plus en plus souvent du plastique dans leur organisme ou s'y empêtrent. Le plastique obstrue également les récifs coralliens et les forêts de mangroves. Et en fin de compte, ces minuscules particules de plastique atteignent également les humains.

300 millions de tonnes de déchets plastiques

Le WWF n'est pas le seul à marteler qu’un changement est indispensable : les Nations unies ont également tiré la sonnette d'alarme le mois dernier. Selon un rapport de l'International Resource Panel (IRP), nous produisons environ 300 millions de tonnes de déchets de plastique par an. C'est le poids de toute la population mondiale ! Si nous n'agissons pas, d'ici 2050, il y aura dans les océans plus de plastique que de poissons. Seuls neuf pour cent de tous les déchets plastiques sont recyclés. Douze pour cent sont brûlés, mais les septante-neuf pour cent restants finissent dans des décharges ou dans la nature. Les déchets de plastique dérivent souvent de l'intérieur des terres vers l'océan, via les rivières et autres voies navigables.

Mais heureusement, il y a de la lumière au bout du tunnel. Depuis le 24 janvier 2022, toute une série de produits en plastique à usage unique ne peuvent plus être vendus : les cotons-tiges en plastique, les assiettes, pailles et emballages alimentaires en polystyrène expansé, par exemple. L'année prochaine, d’autres produits polluants seront interdits, comme les sacs en plastique légers. Un petit pas dans la bonne direction, mais malheureusement pas assez pour renverser la vapeur.

L'eneco Clean Beach Cup

Les grands clubs de surf sur nos côtes affirment depuis des décennies que le problème du plastique ne cesse de prendre de l'ampleur. C'est pourquoi Eneco organise l'Eneco Clean Beach Cup chaque premier dimanche du printemps depuis 2011. Au total, 25 bars de plage et clubs de surf belges et néerlandais y participent. Ce jour-là, des milliers de bénévoles aident à nettoyer les plages sur l'ensemble du littoral, de La Panne à Knokke-Heist ! L'année dernière, pas moins de 2 tonnes de déchets ont été déblayées en Belgique et aux Pays-Bas.

Bert Clinckers, Administrateur Délégué d'Eneco Belgique, en est convaincu : « Nous ne contribuons pas au climat par la production et la fourniture d'énergie durable seulement. En notre qualité de plus grand des acteurs verts, nous avons une responsabilité sociale énorme. Comment voulons-nous traiter notre planète ? Comment pouvons-nous apporter notre contribution à un avenir durable ? Une quantité bien trop importante de plastique aboutit encore dans la mer chaque année. Cette action de nettoyage permet aux jeunes et aux moins jeunes d'en prendre conscience. Nous nous en chargeons ensemble, maintenant ! ».

Nettoyer ensemble les plages lors de l’Eneco Clean Beach Cup

Nos océans se transforment en grande soupe plastique à un train d’enfer. Même si toute la production de plastique s'arrêtait maintenant, le nombre de microplastiques dans les océans pourrait encore plus que doubler d'ici 2050. C'est la conclusion alarmante d'une étude de l'Institut allemand Alfred Wegener, à laquelle a également participé le Vlaams Instituut voor de Zee (VLIZ).

Les dommages causés par la pollution plastique des océans et des mers seront irréparables d'ici la fin du siècle, prévient le WWF, très inquiet pour la biodiversité. Le plancton, les poissons, les tortues et les oiseaux marins ont de plus en plus souvent du plastique dans leur organisme ou s'y empêtrent. La plastique obstrue également les récifs coralliens et les forêts de mangroves. Et en fin de compte, ces minuscules particules de plastique atteignent également les humains.

300 millions de tonnes de déchets plastiques

Le WWF n'est pas le seul à marteler qu’un changement est indispensable : les Nations unies ont également tiré la sonnette d'alarme le mois dernier. Selon un rapport de l'International Resource Panel (IRP), nous produisons environ 300 millions de tonnes de déchets de plastique par an. C'est le poids de toute la population mondiale ! Si nous n'agissons pas, d'ici 2050, il y aura dans les océans plus de plastique que de poissons. Seuls neuf pour cent de tous les déchets plastiques sont recyclés. Douze pour cent sont brûlés, mais les septante-neuf pour cent restants finissent dans des décharges ou dans la nature. Les déchets de plastique dérivent souvent de l'intérieur des terres vers l'océan, via les rivières et autres voies navigables.

Mais heureusement, il y a de la lumière au bout du tunnel. Depuis le 24 janvier 2022, toute une série de produits en plastique à usage unique ne peuvent plus être vendus : les cotons-tiges en plastique, les assiettes, pailles et emballages alimentaires en polystyrène expansé, par exemple. L'année prochaine, d’autres produits polluants seront interdits, comme les sacs en plastique légers. Un petit pas dans la bonne direction, mais malheureusement pas assez pour renverser la vapeur.

Eneco Clean Beach Cup

Les grands clubs de surf sur nos côtes affirment depuis des décennies que le problème du plastique ne cesse de prendre de l'ampleur. C'est pourquoi Eneco organise l'Eneco Clean Beach Cup chaque premier dimanche du printemps depuis 2011. Au total, 25 bars de plage et clubs de surf belges et néerlandais y participent. Ce jour-là, des milliers de bénévoles aident à nettoyer les plages sur l'ensemble du littoral, de La Panne à Knokke-Heist ! L'année dernière, pas moins de 2 tonnes de déchets ont été déblayées en Belgique et aux Pays-Bas.

Bert Clinckers, directeur général d'Eneco Belgique, en est convaincu : « Nous ne contribuons pas au climat par la production et la fourniture d'énergie durable seulement. En notre qualité de plus grand des acteurs verts, nous avons une responsabilité sociale énorme. Comment voulons-nous traiter notre planète ? Comment pouvons-nous apporter notre contribution à un avenir durable ? Une quantité bien trop importante de plastique aboutit encore dans la mer chaque année. Cette action de nettoyage permet aux jeunes et aux moins jeunes d'en prendre conscience. Nous nous en chargeons ensemble, maintenant ! ».